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Message non luPosté: Mar 27 Jan 2015 23:53 
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Inscription: Mar 29 Jan 2013 17:10
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La S.M.I.G. Souveraineté Monétaire Individuelle Gouvernementale.


Cette simple maquette, déjà bien avancée dans sa conception philosophique, est le fruit de deux années de travaux constants et soutenus; de découvertes quasi continues et pourrait bien (res)servir de base à nombre de constitutions terrestres. Elle concerne en première approche la circulation de la monnaie dans le corps social. Il s'agit d'un principe naturel qui permet, non la souveraineté monétaire "nationale", exemple à ne plus suivre sous peine d'amplification de la "guerre permanente" (de part la concentration de son nerf entre les mains des "élus" de la "nation", et en conséquence ingérables démocratiquement), mais de la Souveraineté Monétaire Individuelle Gouvernementale.

Ici est livré le dernier résultat (temporaire car en permanente évolution) sous une forme condensée qu'il s'agit de transposer, par l'écriture d'une constitution, à la pratique sociale. Il concerne un changement radical de modèle de société, laissant la place à la coopération multi-dimensionnelle en supprimant la compétition économique, la hiérarchie des castes, les salaires et les dividendes, les indemnités, les taxes, les impôts, les paradis fiscaux, les partis politiques (mais pas les parti-pris, les décisions nécessaires aux votes budgétaires réguliers), la propriété privatisée au profit de la priorité d'usage, etc.; en bref: l'ensemble des maux dont souffrent nos "sociétés" qui sont dus à la concentration du pouvoir de l'émission monétaire. Car cette émission est à l'origine de Tous les pouvoirs, et en particulier celui des tenants de l’État National ou Républicain, qui actionnaient seuls la planche à billets, maintenant remplacés par une autre caste encore plus insaisissable: celle des banquiers.


Ce principe part de la constatation de l'individu (indivisis) comme la seule possibilité d'état constitué, respectant enfin, l'habitus économique et politique de celui-ci. Sur Terre, seul l'humain, qui pourtant se considère comme le sommet de l'évolution, ne possède pas sa propre souveraineté monétaire individuelle, la déléguant à des inconnus qui usent de la mathématique confuse des "sciences politiques" afin de proroger dans le langage lui-même la quantité de mythes nécessaires au "bon fonctionnement" oligarchique (terme qui annule et remplace monarchique, en noyant la responsabilité des monarques dans une nébuleuse insaisissable)

Cette proposition ne concerne pas seulement la France mais à minima l'Union monétaire européenne, qui trouvera une agréable porte de sortie aux épreuves troïkastes du moment. Mais le but visé est bien une union monétaire mondiale par la mise en place d'une monnaie Commune (et pas Unique) et de monnaies locales de consommation et de monnaies distinctes de subventions politiques. Ces dernières sont la clé de la Démocratie.



Diagramme de base.

Le premier de ces deux diagrammes récapitule le principe de ce système monétaire dans son aspect symbolique, avec une approche plus pragmatique que dans les diagrammes précédents.
Cette représentation utilise cependant une abstraction importante. Hormis dans la partie inférieure en couleurs, les cercles (blancs) des parties supérieures signifient la quantité moyenne des volumes échangés sur une période définie, et non leur capitalisation, leur stockage. Le seul capital viable est détenu sur les comptes souverains individuels en principal, et, dans les lignes budgétaires de l'entreprise après la "Ventilation" (explication plus bas); les "bulles" (blanches) n'expriment ici qu'un ordre d'idée (ne respectant pas les échelles réelles de grandeur) des quantités de monnaies en circulation.
Les deux diagrammes se veulent figuratifs et ne comportent aucune donnée chiffrée dans leurs géométries.


Fichier(s) joint(s):
Diagramme.jpg
Diagramme.jpg [ 189.12 Kio | Vu 15863 fois ]



La séparation verticale, en une partie claire à gauche et une partie sombre à droite, signifie l'aspect primordial des systèmes d'échange qui sont composés à minima d'au moins deux natures de monnaie différentes. Ce principe expose l'inconditionnalité de la dépendance mutuelle des "opposés" (au sens mathématiques), elle-même révélatrice du sens osmotique de la manifestation-double, ou "dualité", interpénétrée dans la réalité, et dont chacune des deux parties n'existe que par rapport à l'autre.
Cette séparation indique aussi le sens rotatif de 'toute' (sauf une!) circulation monétaire, faisant alterner le parcours de la monnaie d'un état à l'autre continûment, c'est à dire le fait de n'utiliser qu'une seule fois la monnaie avant sa transformation.
L'approche philosophique de ce procédé politique revêt l'expression continue du "sort"; procédé qui constitue l'adéquation idéale de l'expression du chaos monétaire face aux contingences et aux envies, qui fait continûment la "loi" et la "justice sociale" en cette démocratie.

La séparation (pointillé) du tiers supérieur indique le découplage entre l'une des monnaies locales et la monnaie commune.
La fonction de régulation se décompose en la comparaison et l'équilibrage des quantités de monnaies qui transitent d'un côté et de l'autre (sens montant et descendant) . Les différentes pressions monétaires des pays (PIB/habitant) se verront automatiquement compensées par ce principe et ramenée à l'unité par la monnaie commune. C'est également par cette régulation que la chronologie du principe de renouvellement monétaire sera calculée et ajustée en fonction des pré-requis écologiques et de la condition sociale possible.

La séparation du tiers inférieur par le pointillé (non nommé), indique quant à lui la mutabilité de la monnaie immatérielle en espèces "sonnantes" dans la partie gauche (matérialisation des monnaies des votes et de consommation); et dans la partie sombre, son retour à l'état "vaporeux" (immatériel) une fois utilisées par l'entreprise. Ce pointillé est figuratif et ne situe pas les endroits exacts de transformations monétaires; cette précision vient avec le "Diagramme suite" ci-après.

La présence des deux points d'analyse de la composition de la consommation, l'un local (au niveau d'un pays) et l'autre mondial, est proposée ici afin de circonscrire le plus rapidement possible les indéterminations écologiques de nos productions/destructions. Seul l'avenir nous révélera la rapidité avec laquelle le point d'analyse local, devenu inutile, disparaîtra. Cette rapidité étant particulière à chaque pays en fonction de son avancée technique, les zones qui n'ont pas connu le "modernisme" nucléaire ou O.G.M s'en dispenserons peut-être plus rapidement.


Diagramme-suite

Dans ce second Diagramme, les voies de circulations des monnaies politiques sont "détaillées" par quelques exemplaires de comptes souverains individuels et permettent de faire apparaître le principe de mixage des lignes de subventions aux entreprises.

Fichier(s) joint(s):
Diagramme-suite.jpg
Diagramme-suite.jpg [ 169.81 Kio | Vu 15862 fois ]


Chaque souverain n'utilise pas systématiquement les deux catégories de votes. Il ouvre, ou non, son compte à la rétribution pour les parties politiques, selon ses disponibilités d'investissement et d'engagement intellectuels.
Les volumes respectifs des monnaies de subventions, étant définis par la mathématique du principe (non encore ajourée: appel à mathématicien de la dynamique des fluides), et ayant un caractère relativement fixe, seront répartis dans les comptes souverains ouverts par leurs utilisateurs.

Au niveau de l'entreprise, les cercles indiqués par "Ventilation" sont les entités d'optimisation des lignes de subventions, qui deviennent alors budgétaires. Cette ventilation consiste en une approche matricielle (table de mixage) d'affectation des subventions dans le détail vers les unités d'achat; ceci afin d'éviter la redondance des lignes budgétaires entre les diverses entreprises et de grouper les commandes.
Les capitaux ainsi transmis sont consignés et utilisés dans le commerce par les souverains responsables de l'entreprise.
Cette "rétention" momentanée et politique n'est pas applicable à la monnaie de consommation qui connaît quant à elle un cycle plus court.
Les couleurs sont afférentes aux types de votes subventionnels et permettent l'introduction de la notion de la séparation stricte (car incompatibles, non échangeables entre elles) des différentes monnaies locales.

L'exposé présent ne limite pas les nombres de monnaies politiques et de lignes de subventions et budgétaires; il ne fait que tenter d'en rapporter les principes de fonctionnement.

Le tirage au sort permettra de désigner les officiers clés de la surveillance de ce système sur de très courtes périodes, renouvelant et confirmant l'impartialité du principe. Ceux-ci n'auront qu'une mission de contrôle des flux monétaires, n'ayant aucune possibilité d'intervenir sur le procédé, entièrement automatisé par les courbes de transferts mathématiques du principe.

Un sens oublié vient peut-être aider à la compréhension pratique du tirage au sort par la tradition annuelle de la "Galette des Rois".
Comme pour la plupart de la symbolique profonde et obscurcie: l'inversion de l'interprétation du geste de couronner n'est pas exclue. Dans ce cas il ne s'agissait pas d'élire un "super-souverain" au pays des déjà Rois mais bien le contraire; car le ministère de nécessité était une forme de destitution temporaire d'un souverain, qui, s'il avait la tête sur les épaules, n'oubliait pas d'ôter lui-même sa couronne le temps de sa mission administrative. Cette tradition permettait de désigner un "élu" par le sort pour effectuer les offices ministérielles, les "basses besognes" en exercice.
Celui-ci désigné par le tirage avait en outre la possibilité de garder la fève en bouche, montrant ainsi sa désapprobation vis à vis du sort (qui peut être injuste en petit comité lorsque le tirage est fréquent, mais qui n'engendre pas ce désagrément sur de grands ensembles); une nouvelle galette s'imposait.


Ce noyau est proposé comme élément à développer et nécessitera une ré-écriture constitutionnelle permanente pour éviter de laisser la dérive de la sémantique, naturelle ou non, pervertir le sens de la géométrie de départ. Ainsi en allait-il du pourquoi des transmissions orales car dès que l'écrit se fossilise: le sens accroché à cette forme s'envole et le dogme arrive.


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